jeudi 23 septembre 2010

Jugement ... pas urgent

Cela fait un bout de temps n'est-ce pas? Nous nous en excusons :)

Petit point sur l'urgence d'une situation qui ne l'est pas : jugement pour la mise en place d'un éducateur ou d'un placement toujours pas prononcé... Et pourtant ils jugaient cet enfant comme étant en danger...

C'est à n'y rien comprendre!

Je ne crois pas que nous comprendrions qu'ils exigent quoi que ce soit après plusieurs mois de silence ...

A suivre malheureusement...

jeudi 24 juin 2010

Témoignages.


Merci aux personnes qui ont partager leur triste histoire... : abus de pouvoir, mauvais-jugement, ...
Nous vous laissons découvrir ces deux témoignages :

  1. bonsoir,

    nous avons eu la visite de deux jeunes pommées qui n'avaient même pas de loulous pour une enquète avec coup de fil soit disant anonyme...

    questions indiscrètes et propos déplacés !!! le système par en vrille !!! quand je voie aux infos des parents qui tuent ou des cas de viols dans les familles de vrai cas sociaux çà me rend dingue et la ils n'ont rien vu??? oui nous sommes jeunes (parents à 19ans et avons rufusé l'aide de la pmi lors de mon séjour à la maternité) et ce n'est pas normal dans notre société !!!

    il leur faut du boulot alors ils grattent là ou il n'y à rien !!!

    c'est trop facile d'appeller anonymement mais enfin ça marche comme çà alors...

  2. J'ai constaté que la justice accordait plus de credits à une enquete sociale, plutôt qu'à une analyse psychiatrique contre la mère. En effet, le psychiatre (9 ans d'études) qui recommandait de donner la garde au père n'a pas fait le poids, contre une enquête sociale banalisée. Toutefois, si cette analyse avait était contre le père, autant vous dire que la justice en aurait pris note. Leur méthode est intolerable et injuste. La justice ne reglera rien de cette facon, j'encourage les pères à aller jusqu'au bout afin de changer cette mentalité heureusement francaise. Nous sommes plus en 1950. La vie sentimentale et familliale des pères a bien changé, il est temps pour la justice d'en prendre note. l'interet d'un enfant n'est pas de vivre exclusivement auprès d'une mère les 9/10ieme du temps. Les parents distants vivent une vraie torture morale. Tant que la justice ne comprendra pas ça, autant vous dire qu'elle ne résoudra rien et les affaires familliales resteront une grosse belle poubelle sentimentale.

lundi 14 juin 2010

L'enfant proie : Dysfonctionnements et dérives de la protection de l'enfance


Pascal Vivet est, depuis de très longues années, le témoin averti des affaires de protection de l'enfance et donc de pédophilie. Spécialiste des droits de l'enfant, il a suivi et continue de suivre l'instruction et le procès des affaires majeures qui ont éclaté dans notre pays depuis une quinzaine d'années ; il est mieux placé que quiconque pour procéder à un état des lieux. En compagnie de Samuel Luret, il nous offre un panorama factuel de la maltraitance sexuelle envers les enfants. Des faits, des faits et encore des faits. Pas des pourcentages, ni de la psychosociologie. À travers une dizaine d'affaires décortiquées par le menu, nous découvrons à la fois l'abomination des actes et les errances de la machine qui est censée protéger les victimes, identifier les coupables et punir équitablement ces derniers. Mais ce livre entame aussi une réflexion sur la manière dont les agressions pédophiles, hier cachées sous le boisseau et tues par les institutions comme par la presse, sont aujourd'hui projetées sur le devant de la scène, médiatisées, traitées de manière hystérique, brouillonne, et elle-même perverse. Hier le coupable était protégé par une sorte d'omerta, aujourd'hui le suspect est parfois condamné avant d'avoir été jugé : les faits sont finalement évacués et l'injustice perdure. Il semble que nous soyons entrés dans une ère du double discours et de la cacophonie qui conduisent aux parallèles faciles et aux confusions tragiques où victimes et criminels pourraient devenir interchangeables.

La protection de l'enfance

Émission radio "Santé à vendre " - Présentée par Max et Agathe.

Témoignage de parents bafoués et qui ont subi des abus de la part des services sociaux!

[Source : http://sos-parents-abuses.forumactif.com/Emission-du-29-Mars-h1.htm]

jeudi 29 avril 2010

Définition : "Présomption d'innocence"

La présomption d'innocence est le principe selon lequel toute personne qui se voit reprocher une infraction est réputée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement et définitivement établie.

La présomption d'innocence, telle qu'entendue actuellement dans la plupart des pays d'Europe, se fonde sur l'article 11 de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 de l'ONU qui la formule de la façon suivante :
  • « Article 11. Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.
    Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d'après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'acte délictueux a été commis. »
En France, le principe de présomption d'innocence est affirmé par l'article 9 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789 (auquel fait référence le préambule de la constitution actuelle) :
  • « tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable... »
Il est décliné dans l'article préliminaire du code de procédure pénale :
  • « III. - Toute personne suspectée ou poursuivie est présumée innocente tant que sa culpabilité n'a pas été établie. Les atteintes à sa présomption d'innocence sont prévenues, réparées et réprimées dans les conditions prévues par la loi. »
Le CPP prévoit également, dans son article 304, le rappel de ce principe aux jurés d'assises lors de leur prestation de serment :
  • « Vous jurez et promettez [...] de vous rappeler que l'accusé est présumé innocent et que le doute doit lui profiter »
De même, l'article 9-1 du code civil français pose le principe de la présomption d'innocence :
  • « Chacun a droit au respect de la présomption d'innocence. »
Il faudrait peut-être compléter la formation des enquêteurs sociaux avec des cours de Droits... et puis aussi qu'ils travaillent plus de 2 jours par semaine, çà éviterait de confondre les dossiers !!!!

Se taire?

On nous conseille de nous taire sur les abus que nous avons subis de la part des enquêteurs sociaux...

Nous taire?
Nous taire cela signifie reconnaître que tout s'est passé normalement, cela signifie que ces personnes pourront recommencer à mal faire leur travail, cela signifie que notre intégrité ne sera pas lavée de l'affront qu'ils nous ont fait, cela signifie que ces personnes briseront d'autres familles et d'autres enfants...

Est-ce que demandé Justice est trop demandé?
Pourtant c'est un droit que nous avons ici en France... nous défendre...
D'ailleurs en France il y a quelque chose qui existait, c'est la présomption d'innocence....

Lorenzo mort à cause de la déficience des services sociaux ?

Lorenzo aurait-il pu être sauvé ?
Par Europe1.fr avec Laure Dautriche et Jean-Luc Boujon
Publié le 29 Avril 2010 à 10h27

Ce nourrisson est mort de dénutrition dans l’Isère. Les services sociaux avaient été alertés.

André Vallini, le président du Conseil général d'Isère, a officiellement demandé une enquête administrative sur la mort de Lorenzo, 10 mois. Ce nourrisson a été retrouvé mort de dénutrition et déshydratation le 19 avril dernier, à Péage-de-Roussillon dans l’Isère. Or, les services sociaux puis un juge des enfants avaient été alertés.

Les parents de Lorenzo sont des toxicomanes. Enceinte, sa mère a été hospitalisée après la découverte du corps de l’enfant pour une overdose, précise Le Dauphiné Libéré .

Une famille signalée aux services sociaux

En juin 2009, les services de protection maternelle et infantile avaient signalé la situation de cette famille à la justice. Neuf mois plus tard, le 17 mars, le juge des enfants avait ordonné la mise en place d'une aide éducative en milieu ouvert. Une association de protection de l'enfance avait été chargée d’appliquer cette décision. Elle ne l’a jamais fait.

Des voisins, qui ont aussi tenté de donner l’alerte, racontent que la situation de ces parents de toxicomanes n’était un secret pour personne. Certains avaient pris les devants et faisaient quelques courses pour la mère de l’enfant. "Ils lui ont posé une bouteille de coca. Elle n’a pas eu la force de sortir, elle a rampé sur les fesses. Ça se voyait qu’elle se droguait et tout le monde le savait", raconte un riverain rencontré par Europe 1.

Le frère aîné de Lorenzo, âgé de 3 ans, avait d’ailleurs été placé en famille d’accueil.

Un manque de coordination ?

Pourquoi rien n’a été fait pour protéger l’enfant ? "Il n’y a pas de coordination entre les communes et le département, entre le département et la justice", résume André Vallini, au micro d’Europe 1. Le président du Conseil général déplore notamment le temps mis par chaque service pour agir et faire avancer le dossier.

Le parquet a ouvert une information pour "privation de soins ayant entraîné la mort par ascendant". Mais le père de Lorenzo, qui avait quitté le domicile familial une semaine avant le drame, se fait accusateur à son tour. Au-delà de sa compagne, qu’il accuse de meurtre, il menace de porter plainte contre les services sociaux qui "n’ont pas fait leur travail".

[Source : www.europe1.fr]